La grande migration…
Les gnous sont adaptés à la course : endurants et rapides ils peuvent atteindre 80 km/h. Si les femelles et leurs petits vivent en troupeaux, les mâles sont solitaires. Mais en période de migration, tous forment des groupes de milliers d’individus, s’étendant sur des kilomètres, pour rejoindre des zones où la nourriture sera plus abondante.
A La Barben, ils évoluent dans la plaine africaine, en compagnie des rhinocéros blancs, des oryx beisa et des springboks.